Taltz® produit plus de journées cumulatives avec une peau entièrement exempte de lésions chez des adultes atteints de psoriasis que sept autres produits biologiques, comme le montre une nouvelle méta-analyse en réseau

Résultats de la première méta-analyse en réseau fondée sur la surface sous la courbe des données d’essais cliniques de 52 semaines. Taltz a aussi aidé les patients à rester plus longtemps sous traitement avec un plus grand nombre de jours sans traitement supplémentaire dans trois analyses des données de demandes de règlement réelles aux États-Unis.

TORONTO (Ontario) – Le 30 avril 2021 – Lors d’une méta-analyse d’essais cliniques et de données probantes réelles, Taltz® (ixékizumab), un produit de Eli Lilly and Company, a montré une plus grande efficacité en ce qui concerne les principaux résultats thérapeutiques mesurés, comparativement à d’autres produits biologiques utilisés chez les adultes atteints de psoriasis en plaques modéré ou grave. Au cours de la première méta-analyse en réseau d’une durée d’un an fondée sur la surface sous la courbe, Taltz a montré un plus grand nombre de bienfaits cumulatifs sur une année au regard d’une peau entièrement exempte de lésions, par rapport à sept autres produits biologiques, mesurés par l’indice de l’étendue et de la gravité du psoriasis (PASI) 100. Dans le cadre de trois analyses de données réelles des demandes de règlement aux États-Unis, allant d’un à trois ans, les patients traités par Taltz sont demeurés plus longtemps en traitement, avaient une meilleure observance du traitement prescrit et sont restés un plus grand nombre de jours en monothérapie, par rapport aux autres produits biologiques étudiés. Ces résultats ont été présentés virtuellement à la réunion de l’American Academy of Dermatology (AAD VMX) qui s’est tenue du 23 au 25 avril 2021.

Les résultats de la méta-analyse d’essais cliniques ont montré que Taltz offrait plus de jours cumulatifs avec une peau exempte de lésions chez les patients atteints de psoriasis modéré ou grave, par rapport à sept autres produits biologiques », a déclaré le D r Doron Sagman, vice-président, R-D et Affaires médicales, Eli Lilly Canada. « Cela consolide la position de Taltz comme une option de traitement importante pour les patients qui recherchent une peau entièrement exempte de lésions à long terme. »

Taltz a permis aux patients d’obtenir une disparition complète et durable des lésions sur une période d’un an. 1

Dans le cadre de la méta-analyse en réseau visant à évaluer les avantages cliniques cumulatifs des produits biologiques dans le traitement du psoriasis, pour laquelle l’indice PASI 100 a été utilisé pour mesurer l’effet précoce et soutenu des médicaments biologiques approuvés pour le traitement du psoriasis sur une période d’un an, Taltz a offert aux patients atteints de psoriasis le plus grand nombre de jours cumulatifs avec une peau entièrement exempte de lésions par rapport à l’adalimumab, le brodalumab, l’étanercept, le guselkumab, le risankizumab, le sécukinumab et l’ustékinumab. Dans cette analyse, Taltz a permis d’obtenir un total d’une à 18 semaines cumulatives de plus avec une peau entièrement sans lésions en un an, par rapport à ces sept autres produits biologiques.

Taltz a permis aux patients de profiter d’un total de 159 jours cumulatifs (intervalle de confiance à 95 %, 147,4 à 170 jours) ou 23 semaines avec une peau entièrement sans lésions (PASI 100), ce qui signifie qu’un patient avait la peau entièrement exempte de lésions pendant environ 44 % de l’année par rapport :

  • au risankizumab (152 jours [141,6 à 162,0 jours], soit 22 semaines et 42 % de l’année);

  • au brodalumab (138 jours [119,0-157,2 jours], soit 20 semaines et 38 % de l’année);

  • au guselkumab (131 jours, [120,8 à 141,6 jours], soit 19 semaines et 36 % de l’année);

  • au sécukinumab (119 jours [111,7 à 127,0 jours], soit 17 semaines et 33 % de l’année);

  • à l’ustékinumab (74 jours [63,3 à 84,4 jours], soit 11 semaines et 20 % de l’année);

  • à l’adalimumab (67 jours [55,7 à 77,9 jours], soit 10 semaines et 18 % de l’année):

  • à l’étanercept (32 jours [23,7-39,7 jours], soit 5 semaines et 9 % de l’année).

Pour la méthodologie, voir la section « À propos des études » ci-dessous.

Taltz a aidé les patients à poursuivre le traitement prescrit et à éviter le recours à un traitement supplémentaire du psoriasis pendant plus longtemps, comparativement au sécukinumab, à l’ustékinumab, à l’adalimumab et à l’étanercept. 2

Les personnes atteintes de psoriasis qui prenaient Taltz arrivaient mieux à prendre les médicaments tels que prescrits (adhésion), et pendant la durée prescrite (persistance), sans avoir besoin de médicaments supplémentaires (monothérapie), par rapport à celles traitées avec le sécukinumab, l’ustékinumab, l’adalimumab et l’étanercept, jusqu’à une période de trois ans. Les patients recevant Taltz ont maintenu leur traitement pendant une période médiane observée de près de 22 semaines de plus, par rapport à tous les autres produits biologiques réunis (414 contre 259 jours, [59 contre 37 semaines], p<0,001), et environ 11 à 34 semaines de plus que les traitements individuels : sécukinumab (335 jours [48 semaines]), adalimumab (301 jours [43 semaines]), étanercept (181 jours [26 semaines]) et ustékinumab (176 jours [25 semaines]). Comparativement à l’ensemble des autres produits biologiques pour lesquels les patients sont restés sous ordonnance pendant moins de la moitié de l’année (45,7 %), les patients qui ont été traités par Taltz ont suivi le traitement prescrit pendant plus de la moitié de l’année (53,2 %), tel que mesuré par la proportion de jours couverts (PJC) par traitement prescrit (p<0,001). Les patients qui prenaient Taltz ont aussi passé plus de temps (52,7 % de l’année) en monothérapie, par rapport à l’ensemble des autres produits biologiques (44,8 % de l’année) (p<0,001). Pour la méthodologie, voir la section « À propos des études » ci-dessous.

Les patients traités par Taltz ont suivi le traitement pendant presque huit semaines de plus que les patients traités par le guselkumab, malgré l’administration plus fréquente des doses. 3

Comparativement au guselkumab, les patients atteints de psoriasis traités par Taltz ont adhéré au traitement pendant près de huit semaines de plus (Taltz : médiane de 272 jours ou 39 semaines [PJC=0,75]; guselkumab : 219 jours ou 31 semaines [PJC=0,60], p=0,001) et environ six semaines de plus en monothérapie (Taltz : médiane de 247 jours ou 35 semaines [PJC=0,68]; guselkumab : 202 jours ou 29 semaines [PJC=0,55], p=0,002) sur un an. Chez les patients qui avaient besoin de traitements supplémentaires contre le psoriasis, le besoin de médicaments à action générale était semblable chez les patients qui prenaient Taltz ou le guselkumab sur un an. Pour la méthodologie, voir la section « À propos des études » ci-dessous.

Les patients qui prenaient Taltz et qui avaient déjà utilisé un produit biologique étaient plus susceptibles de continuer le traitement prescrit que ceux qui prenaient du sécukinumab.<sup>4</sup>

Parmi les participants qui avaient déjà utilisé un produit biologique, les patients atteints de psoriasis traités par Taltz étaient plus susceptibles d’être « très adhérents » au traitement, un constat confirmé par le respect de la posologie prescrite dans plus de 80 % des jours de traitement (Taltz : 42,0 % contre sécukinumab : 35,0 %, p=0,019). Taltz était associé à un risque 25 % moins élevé de changement de traitement, à un risque 20 % moins élevé d’arrêt du traitement avant la fin de la durée prescrite (non-persistance), à un risque 19 % moins élevé d’arrêt du traitement et à une probabilité 36 % plus élevée de suivre le traitement prescrit (adhésion) par rapport au sécukinumab. Pour la méthodologie, voir la section « À propos des études » ci-dessous.

« Les patients atteints de psoriasis veulent voir leur lésions disparaître, à long terme. « La méta-analyse d’essais cliniques et les données probantes en contexte réel ont confirmé le fait que Taltz représente une option de traitement importante à envisager chez les adultes vivant avec un psoriasis modéré ou grave », a déclaré le D r Yves Poulin, M.D. FRCPC, dermatologue.

Plus de 175 000 patients ont été traités par Taltz dans le monde depuis son lancement, ce qui a donné aux fournisseurs de soins de santé la confiance nécessaire pour prendre des décisions éclairées en matière d’ordonnances pour les patients atteints de psoriasis en plaques modéré ou grave et de rhumatisme psoriasique, ainsi que dans d’autres conditions approuvées, y compris la spondylarthrite ankylosante et la spondylarthrite axiale non radiographique.

À propos des études

  • Avantages cliniques cumulatifs des traitements biologiques du psoriasis sur une période d’un an
    La méta-analyse en réseau a utilisé les données tirées des essais cliniques de phase III publiées pour Taltz, l’adalimumab, le brodalumab, l’étanercept, le guselkumab, l’infliximab, le risankizumab, le sécukinumab et l’ustékinumab pour évaluer les avantages cliniques cumulatifs des traitements du psoriasis. La méthode de la surface sous la courbe a été utilisée pour mesurer l’avantage cumulatif total, qui tient compte de l’effet précoce observé à partir de la semaine 0 et de l’effet soutenu jusqu’à la semaine 52, en utilisant des paliers de quatre semaines, tandis que les analyses traditionnelles utilisent des mesures ponctuelles aux semaines 12, 16 ou 52. Les avantages cumulatifs de chaque traitement ont été normalisés en tant que pourcentage de la surface sous la courbe maximale possible. Les jours cumulés au score PASI 90 et PASI 100 ont été calculés en multipliant la surface sous la courbe normalisée par la durée de l’étude. L’analyse de sensibilité a été effectuée à l’aide des mêmes essais cliniques avec des données sur 48 semaines.

  • Le traitement par ixékizumab a montré une adhésion et une persistance au traitement plus grandes ainsi qu’une plus longue durée de la monothérapie par rapport au sécukinumab, à l’ustékinumab, au adalimumab et à l’étanercept jusqu’à 3 ans pour le traitement du psoriasis : données réelles tirées de la base de données MarketScan® d’IBM
    À partir des demandes de règlement répertoriées dans la base de données MarketScan d’IBM, pour la période du 1
    er janvier 2016 au 30 avril 2020, les taux d’adhésion, de persistance et de monothérapie ont été évalués chez 7 797 patients adultes ayant reçu une ordonnance de Taltz (n=742), de sécukinumab (n=1 027), d’ustékinumab (n=1 912), d’adalimumab (n=3 592) ou d’étanercept (n=524). Les patients pouvaient s’inscrire en continu au moins six mois avant la période de référence et au moins un an après la période de référence et étaient suivis jusqu’à trois ans après leur première ordonnance. Les comparaisons de traitement étaient fondées sur des échantillons équilibrés après la pondération par probabilité inverse de traitement.

  • Comparaison réelle de la monothérapie et de l’utilisation concomitante de médicaments avec les traitements biologiques du psoriasis : comparaison entre l’ixékizumab et le guselkumab
    En utilisant les demandes de règlement de la base de données MarketScan d’IBM du 1
    er juillet 2017 au 31 décembre 2018, la monothérapie et l’utilisation de médicaments supplémentaires ont été comparées pour Taltz et le guselkumab, la première IL-23 ayant une taille d’échantillon suffisante pour effectuer une analyse robuste. L’analyse comprenait des patients adultes atteints de psoriasis ayant présenté une demande de règlement pour Taltz (n=676) ou pour le guselkumab (n=739). La date de référence était la date de la première demande de règlement; les patients s’inscrivaient continuellement pendant une période minimum de 6 mois avant la date de référence et d’au moins un an après la date de référence. Les comparaisons de traitement étaient fondées sur des échantillons équilibrés après la pondération par probabilité inverse de traitement.

  • Comparaison des modèles de traitement à long terme chez les utilisateurs de l’ixékizumab et les utilisateurs du sécukinumab chez des patients atteints de psoriasis ayant déjà été exposés à un agent biologique
    À l’aide des demandes de règlement présentées dans la base de données MarketScan d’IBM du 1
    er mars 2016 au 31 octobre 2019, les modèles de traitement à long terme ont été comparés parmi les patients qui avaient déjà reçu un traitement biologique et qui avaient ensuite été traités par Taltz (n=411) ou le sécukinumab (n=780). La date de référence était la date de la première demande de règlement pour Taltz ou sécukinumab. L’étude comprenait des adultes atteints de psoriasis ayant reçu au moins une ordonnance pour un agent biologique pendant une période allant de six mois avant la date de référence à 18 mois après la date de référence, inscrits en continu et bénéficiant de prestations médicales et pharmaceutiques. Les comparaisons de traitement étaient fondées sur des échantillons équilibrés après la pondération par probabilité inverse de traitement.

À propos de Taltz®

Taltz (ixékizumab) est approuvé pour le traitement des patients âgés de 6 ans et plus atteints de psoriasis en plaques modéré ou grave qui sont candidats au traitement à action générale ou à la photothérapie et pour le traitement des adultes qui ont un rhumatisme psoriasique évolutif, une spondylarthrite ankylosante évolutive, ou une spondylarthrite axiale non radiographique évolutive avec des signes objectifs d’inflammation.<sup>5</sup>

À propos du psoriasis en plaques modéré ou grave

Le psoriasis est une maladie auto-immune chronique touchant la peau. Il survient lorsque le système immunitaire envoie de mauvais signaux qui accélèrent le cycle de croissance des cellules cutanées. Le psoriasis touche environ 125 millions de personnes dans le monde, dont environ 20 % présentent une forme modérée ou grave de la maladie. La forme la plus courante de psoriasis, le psoriasis en plaques, se caractérise par l’apparition de plaques rouges en relief couvertes d’une accumulation de cellules mortes de couleur blanc argenté. Les patients atteints de psoriasis en plaques ont souvent d’autres problèmes de santé graves, comme le diabète et une cardiopathie, et subissent des effets négatifs sur leur qualité de vie.

À propos des activités de Lilly dans le domaine de la dermatologie

En empruntant des sentiers inexplorés de la science, nous perpétuons la tradition de Lilly d’offrir des médicaments novateurs qui répondent à des besoins jusque-là insatisfaits et qui changent des vies partout dans le monde. Les répercussions des maladies cutanées ne se limitent pas à la peau. Nous sommes conscients des effets dévastateurs qu’elles peuvent avoir sur la vie des gens. Chez Lilly, nous œuvrons sans relâche à la constitution d’une gamme robuste de produits dermatologiques qui nous permet d’offrir des solutions novatrices et centrées sur les patients, afin que les patients atteints de maladies cutanées puissent aspirer à une vie sans entraves.

À propos de Lilly Canada

Eli Lilly and Company est un chef de file mondial dans le domaine des soins de santé, alliant empathie et recherche dans le but d’offrir une vie meilleure aux citoyens du monde entier. Notre entreprise a été fondée il y a plus d’un siècle par le colonel Eli Lilly, un homme voué à la mise au point de médicaments de grande qualité répondant aux besoins de la population. Aujourd’hui, nous demeurons fidèles à cette mission dans tout ce que nous entreprenons. Les employés de Lilly s’efforcent de créer des médicaments révolutionnaires et d’en faire profiter ceux qui en ont besoin. Ils cherchent également à améliorer la compréhension et la prise en charge des maladies et à contribuer au bien-être de nos communautés grâce à la philanthropie et au bénévolat.

Eli Lilly Canada a été créée en 1938 à la suite d’une collaboration de recherche avec des chercheurs de l’Université de Toronto, laquelle a abouti à la mise au point de la première insuline commercialisable au monde. Notre travail se concentre sur les domaines de l’oncologie, du diabète, de l’auto-immunité, des affections neurodégénératives et de la douleur. Pour en savoir plus au sujet de Lilly Canada, nous vous invitons à consulter notre site Web à l’adresse www.lilly.ca.

Pour connaître notre point de vue sur les questions de soins de santé et d’innovation, suivez-nous sur Twitter @LillyPadCA et @LillyMedicalCA.

Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs (au sens de la Private Securities Litigation Reform Act de 1995) au sujet de Taltz (ixékizumab) comme traitement des patients atteints de psoriasis ou de rhumatisme psoriasique, et reflète les opinions actuelles de Lilly. Toutefois, comme c’est le cas pour tout produit pharmaceutique, le processus de recherche, de mise au point et de commercialisation d’un médicament est associé à des incertitudes et à des risques substantiels. Entre autres choses, rien ne garantit que les résultats d’études futures seront conformes aux résultats obtenus à ce jour ou que Taltz sera approuvé par d’autres instances réglementaires ou connaîtra un succès commercial. Pour obtenir plus de renseignements à ce sujet et au sujet des autres risques et incertitudes, veuillez consulter les derniers formulaires 10-K et 10-Q déposés par Lilly auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis. Sauf si la loi l’exige, Lilly ne s’engage nullement à réviser tout énoncé prospectif en fonction d’événements survenant après la diffusion de ce communiqué.

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Références

  1. Blauvelt et coll. Avantages cliniques cumulatifs des traitements biologiques du psoriasis sur une période d’un an. Résultats présentés au congrès virtuel de l’American Academy of Dermatology; 23‑25 avril 2021.

  2. Blauvelt et coll. Le traitement du psoriasis par ixékizumab affiche une adhésion et une persistance au traitement plus grandes ainsi qu’une plus longue durée de la monothérapie par rapport au sécukinumab, à l’ustékinumab, à l’adalimumab et à l’étanercept jusqu’à 3 ans : données liées à des situations réelles et tirées de la base de données IBM® MarketScan®. Résultats présentés au congrès virtuel de l’American Academy of Dermatology; 23‑25 avril 2021.

  3. Blauvelt et coll. Comparaison réelle de la monothérapie et de l’utilisation concomitante de médicaments avec les traitements biologiques du psoriasis : ixékizumab vs guselkumab. Résultats présentés au congrès virtuel de l’American Academy of Dermatology; 23‑25 avril 2021.

  4. Blauvelt et coll. Comparaison des modèles de traitement à long terme par l’ixékizumab et par le sécukinumab chez les patients atteints de psoriasis ayant déjà été exposés à un agent biologique. Résultats présentés au congrès virtuel de l’American Academy of Dermatology; 23‑25 avril 2021.

  5. Monographie de Taltz, 29 mars 2021

Pour lire les divulgations de l’AAD 2021 de Lilly, cliquez ici.

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